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Bonjour. Je suis nouveau ici, mon désir étant de découvrir la régression , le monde de l'abdl. Je me souviens encore tout jeune, de bien des périodes de ma vie où je me faisait assister par une femme en famille d'accueil, non seulement qui, alors que j''étais âge de dix, douze ans, décidait sur moi, ou à ma place, déjà, de me déshabiller puis de me mener en sale de douche pour me laver, toujours elle même, lorsque, quand ne pouvant assurer de me prendre en charge, me confiait à sa fille ainée, qui de fait, à son tour, me déshabillait et me lavait de la tête aux pieds. Parfois même, soit la jeune maman, soit sa grande fille, qui avait à cette époque, qu'un an de plus que moi seulement, me lavait en présence de la plus jeune de cette famille qui me recevait pour me garder quand mes parents s'absentaient. Mon assistanat se faisait de mes dix , douze ans donc, et c'est poursuivi jusqu'à mes quinze ans. Des années plus loin, dans mes vingt cinq, trente ans, là , encore une autre fille, une jeune femme que je fréquentais durant trois années, étions amoureux, mais qui elle aussi me traitait comme un très jeune garçon, qui aussi décidait des choses entre nous, donc, me dévétissait et me douchait intégralement quand elle estimait l'heure venue, et qu'elle me trouvait sale. Jusqu'à aller plus encore, car m'assistait jusqu'au wc, comme pour un petit garçon sur le pot. J'ai connu le pipi au lit jusqu'à mes douze ans, bon, lié à complication de santé, mais malgrés tout, incontinent urinaire. J'ai toujours pensé que ma condition était que j'était conçu pour rester enfant, bon à être assisté comme un petit garçon, et de mon âge , je me sent appelé à régresser progressivement. Je me trouve en complication déjà, de mobilité, peine à réaliser ce que par le passé j'étais capable de réaliser tout seul, comme un grand, donc, petit à petit, le temps passant, devrais je me retrouver encore, entre mains de femmes, pour de nouveau me faire déshabiller, laver, être assisté aux besoins naturels ? C'est peut être ce qui m'attend dans le futur, ou reste de ma vie. J'aimerais me trouver entre les mains d'une femme, peut être une intervenante genre aide soignante par exemple, qui ferait de moi son enfant, me traiterait comme tel, qui me punirait aussi si pas gentil garçon avec elle. Mais qui vraiment aurait désir de me prendre à sa charge, quitte aussi à gérer ma vie sexuelle, et intime même sur le pot. Aussi une autre femme, se pourrait être une fille à elle, par exemple, qui aussi m'assisterait, me passerait à la douche, me prendrait en mains pour le pot, etc, avec obligation de porter des couches, voir même, si pas obéissant, me punirait par fessées.
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Je suis et reste disponible ou à disposition de femmes mamans pour homme à verser dans la totale et définitive regression, même par contrainte s'il le faut et nécessaire. Je suis et reste disponible pour tous désirs de me soumettre sous la supériorité de femmes autoritaires, très sévères et strictes, disponible pour me laisser être, même de force, traité en bébé, petit garçon ou adolescent, selon les désirs et attentes de femmes sur moi, de faire de moi leur réel bébé ou enfant mâle de bas âge à l'âge d'ado, fonction des femmes. Je reste à prendre comme homme enfant de bas âge, pour femmes aimant dominer, me traiter comme étant à elle leur propriété définitive, pour me langer, me mettre en couche, me contraindre à souiller, tout ce qu'elles veulent de moi, pour elles, pour leur nom, leur envie de supériorité de femmes sur moi.
......
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I went into a public-'ouse to get a pint o' beer,
The publican 'e up an' sez, "We serve no red-coats here."
The girls be'ind the bar they laughed an' giggled fit to die,
I outs into the street again an' to myself sez I:
O it's Tommy this, an' Tommy that, an' "Tommy, go away";
But it's "Thank you, Mister Atkins", when the band begins to play,
The band begins to play, my boys, the band begins to play,
O it's "Thank you, Mister Atkins", when the band begins to play.
I went into a theatre as sober as could be,
They gave a drunk civilian room, but 'adn't none for me;
They sent me to the gallery or round the music-'alls,
But when it comes to fightin', Lord! they'll shove me in the stalls!
For it's Tommy this, an' Tommy that, an' "Tommy, wait outside";
But it's "Special train for Atkins" when the trooper's on the tide,
The troopship's on the tide, my boys, the troopship's on the tide,
O it's "Special train for Atkins" when the trooper's on the tide.
Yes, makin' mock o' uniforms that guard you while you sleep
Is cheaper than them uniforms, an' they're starvation cheap;
An' hustlin' drunken soldiers when they're goin' large a bit
Is five times better business than paradin' in full kit.
Then it's Tommy this, an' Tommy that, an' "Tommy, 'ow's yer soul?"
But it's "Thin red line of 'eroes" when the drums begin to roll,
The drums begin to roll, my boys, the drums begin to roll,
O it's "Thin red line of 'eroes" when the drums begin to roll.
We aren't no thin red 'eroes, nor we aren't no blackguards too,
But single men in barricks, most remarkable like you;
An' if sometimes our conduck isn't all your fancy paints,
Why, single men in barricks don't grow into plaster saints;
While it's Tommy this, an' Tommy that, an' "Tommy, fall be'ind",
But it's "Please to walk in front, sir", when there's trouble in the wind,
There's trouble in the wind, my boys, there's trouble in the wind,
O it's "Please to walk in front, sir", when there's trouble in the wind.
You talk o' better food for us, an' schools, an' fires, an' all:
We'll wait for extry rations if you treat us rational.
Don't mess about the cook-room slops, but prove it to our face
The Widow's Uniform is not the soldier-man's disgrace.
For it's Tommy this, an' Tommy that, an' "Chuck him out, the brute!"
But it's "Saviour of 'is country" when the guns begin to shoot;
An' it's Tommy this, an' Tommy that, an' anything you please;
An' Tommy ain't a bloomin' fool -- you bet that Tommy sees!(poem by Rudyard Kipling, 1892)